Sur le vif
Spectacle
Chambre noire
Mise en scène: Cie Pleus Polaire
Si Valerie Solanas est connue pour avoir tenté d’assassiner le célèbre Andy Warhol en 1968, elle fut aussi une enfant meurtrie élevée par une mère paumée, une féministe enragée, l’auteure d’un sidérant pamphlet au vitriol baptisé S.C.U.M. Manifesto et la « première pute intellectuelle d’Amérique » comme elle se définissait. Dans une pénombre zébrée de néons roses des boîtes de strip-tease, Yngvild Aspeli nous emmène à San Francisco, en 1988, dans une chambre d’hôtel où Valerie Solanas termine son existence folle et furieuse. Autour de ce personnage extrême et paradoxal, se matérialisent ses souvenirs et ses fantômes. Yngvild Aspeli interprète tous les personnages avec maestria, se démultipliant comme par magie grâce à des marionnettes troublantes d’hyperréalisme ou de monstruosité. Elle est accompagnée par les rythmes psychédéliques et les mélodies envoûtantes de la musicienne Ane Marthe Sørlien Holen aux percussions, au synthétiseur et au marimba. La metteure en scène a puisé la substance de son spectacle dans le roman La Faculté des rêves de Sara Stridsberg, une biographie imaginaire, belle et percutante de Valerie Solanas. Chambre noire nous plonge dans la conscience de ce personnage outrancier et lucide, et nous le rend proche et attachant. Il nous invite également à regarder la folie, le problème des violences faites aux femmes et le combat de tout être humain pour échapper à ce qui le broie.
Intention
La trajectoire hallucinée d’une féministe dans les Etats-Unis des années 1960
Distribution
Mise en scène : Yngvild Aspeli, Paola Rizza
Interprétation : Yngvild aspeli
Percussionniste :
Ane Marthe Sørlien Holen
Dramaturgie : Pauline Thimonnier
Regard manipulation : Pierre Tual
Création sonore :
Guro, Skumsnes Moe
Création marionnettes : Yngvild Aspeli, Pascale Blaison, Polina Borisova
Costumes : Sylvia Denais
Lumière : Xavier Lescat
Vidéo : David Lejard-Ruffet
Régie son et video : Antony Aubert
Régisseure lumière : Alix Weugue
Déjà passé
Mise en scène: Cie Pleus Polaire
Si Valerie Solanas est connue pour avoir tenté d’assassiner le célèbre Andy Warhol en 1968, elle fut aussi une enfant meurtrie élevée par une mère paumée, une féministe enragée, l’auteure d’un sidérant pamphlet au vitriol baptisé S.C.U.M. Manifesto et la « première pute intellectuelle d’Amérique » comme elle se définissait. Dans une pénombre zébrée de néons roses des boîtes de strip-tease, Yngvild Aspeli nous emmène à San Francisco, en 1988, dans une chambre d’hôtel où Valerie Solanas termine son existence folle et furieuse. Autour de ce personnage extrême et paradoxal, se matérialisent ses souvenirs et ses fantômes. Yngvild Aspeli interprète tous les personnages avec maestria, se démultipliant comme par magie grâce à des marionnettes troublantes d’hyperréalisme ou de monstruosité. Elle est accompagnée par les rythmes psychédéliques et les mélodies envoûtantes de la musicienne Ane Marthe Sørlien Holen aux percussions, au synthétiseur et au marimba. La metteure en scène a puisé la substance de son spectacle dans le roman La Faculté des rêves de Sara Stridsberg, une biographie imaginaire, belle et percutante de Valerie Solanas. Chambre noire nous plonge dans la conscience de ce personnage outrancier et lucide, et nous le rend proche et attachant. Il nous invite également à regarder la folie, le problème des violences faites aux femmes et le combat de tout être humain pour échapper à ce qui le broie.
Intention
La trajectoire hallucinée d’une féministe dans les Etats-Unis des années 1960
Distribution
Mise en scène : Yngvild Aspeli, Paola Rizza
Interprétation : Yngvild aspeli
Percussionniste :
Ane Marthe Sørlien Holen
Dramaturgie : Pauline Thimonnier
Regard manipulation : Pierre Tual
Création sonore :
Guro, Skumsnes Moe
Création marionnettes : Yngvild Aspeli, Pascale Blaison, Polina Borisova
Costumes : Sylvia Denais
Lumière : Xavier Lescat
Vidéo : David Lejard-Ruffet
Régie son et video : Antony Aubert
Régisseure lumière : Alix Weugue