Sur le vif
Spectacle
Et mon corps inondé
Auteur: Béatrice Bienville
Mise en scène: Marta Pereira
La Mer. Elle a laissé sa trace en moi. Déracinés, loin de chez soi, sa musique lointaine continue de nous imprimer son rythme. Elle nous appelle et nous rappelle à quel point elle nous est vitale. On porte la mer en soi, notre cœur est inondé.
La retrouver devient un jour une urgence, on entre alors en apnée. On veut pouvoir courber le monde et oublier l’exil pour se rapprocher d’elle. Comment vivre ce corps inondé d’une mer intérieure ? Chercher par la danse et le mouvement. Chercher à faire vivre autour de soi ce bleu qui nous inonde. Bleu mon corps, bleu ma chair blessée. Peut on danser la mer sans se laisser submerger ?
Intention
Le corps en scène, à la fois sujet et outil, danse sous l’impulsion d’une mer intérieure. Mais cette mer gonfle en lui, l’inonde jusqu’à en déborder. De ce mouvement fluide, émergent des figures à la présence éphémère et fugace.
Le geste d’animation repose sur des techniques de manipulation invisible qui permettent un jeu d’apparition et disparition. La limite entre intérieur et extérieur du corps est mise en scène comme poreuse. Ce corps devient paysage. Il s’absente au fur et à mesure que les figures alentour s’autonomisent et finit par se perdre dans cet espace animé.
Distribution
Mise en scène, jeu et construction : Marta Pereira – Texte : Béatrice Bienville – Dramaturgie : Julie Postel – Conseil chorégraphie : Léone CatsBaril – Conseil manipulation : Zoé Grossot – Création lumière et régie : Romain Le Gall Brachet – Création son : Appât203 – Regard complice : Sylvie Baillon
Production déléguée Tas de Sable – Ches Panses Vertes – Soutien Institut International de la Marionnette
Déjà passé
Auteur: Béatrice Bienville
Mise en scène: Marta Pereira
La Mer. Elle a laissé sa trace en moi. Déracinés, loin de chez soi, sa musique lointaine continue de nous imprimer son rythme. Elle nous appelle et nous rappelle à quel point elle nous est vitale. On porte la mer en soi, notre cœur est inondé.
La retrouver devient un jour une urgence, on entre alors en apnée. On veut pouvoir courber le monde et oublier l’exil pour se rapprocher d’elle. Comment vivre ce corps inondé d’une mer intérieure ? Chercher par la danse et le mouvement. Chercher à faire vivre autour de soi ce bleu qui nous inonde. Bleu mon corps, bleu ma chair blessée. Peut on danser la mer sans se laisser submerger ?
Intention
Le corps en scène, à la fois sujet et outil, danse sous l’impulsion d’une mer intérieure. Mais cette mer gonfle en lui, l’inonde jusqu’à en déborder. De ce mouvement fluide, émergent des figures à la présence éphémère et fugace.
Le geste d’animation repose sur des techniques de manipulation invisible qui permettent un jeu d’apparition et disparition. La limite entre intérieur et extérieur du corps est mise en scène comme poreuse. Ce corps devient paysage. Il s’absente au fur et à mesure que les figures alentour s’autonomisent et finit par se perdre dans cet espace animé.
Distribution
Mise en scène, jeu et construction : Marta Pereira – Texte : Béatrice Bienville – Dramaturgie : Julie Postel – Conseil chorégraphie : Léone CatsBaril – Conseil manipulation : Zoé Grossot – Création lumière et régie : Romain Le Gall Brachet – Création son : Appât203 – Regard complice : Sylvie Baillon
Production déléguée Tas de Sable – Ches Panses Vertes – Soutien Institut International de la Marionnette