Sur le vif
Festival
Au fil de la marionnette - Edition 2019
Direction artistique: Jackie CHALLA
Cette saison, vous trouverez tout au long du programme des rendez-vous réguliers avec la marionnette et ses arts associés : ombre, objet, papier, vidéo.
Qu’ils nous viennent du Québec comme la compagnie La fille du laitier que vous pourrez découvrir en septembre, ou de Bordeaux, comme le Friix club que nous programmons sur ce focus de novembre, ces artistes ont en commun de regarder notre monde à travers des objets ou figures qui s’animent au moindre geste du manipulateur. C’est fascinant de voir à quel point ces petits êtres de papier, de chiffon ou de résine peuvent incarner l’humanité toute entière.
Tirés par des fils, manipulés par des silhouettes silencieuses, portés par des corps à vue ou invisibles, ils nous ressemblent tellement qu’ils nous aident à penser à nos propres fils, nos ombres, nos empêchements. Ils traversent nos consciences et plongent profondément dans nos inconscients et nos imaginaires. Quel est ce phénomène qui, à leur contact, ravive les plaisirs que nous avions à faire souffrir nos poupées et nos petits soldats ou au contraire à les magnifier ? Etrange pouvoir de la marionnette qui veut qu’on lâche prise comme au temps de nos jeux d’enfant… Laissez-vous faire, c’est magique !
Déjà passé
Direction artistique: Jackie CHALLA
Cette saison, vous trouverez tout au long du programme des rendez-vous réguliers avec la marionnette et ses arts associés : ombre, objet, papier, vidéo.
Qu’ils nous viennent du Québec comme la compagnie La fille du laitier que vous pourrez découvrir en septembre, ou de Bordeaux, comme le Friix club que nous programmons sur ce focus de novembre, ces artistes ont en commun de regarder notre monde à travers des objets ou figures qui s’animent au moindre geste du manipulateur. C’est fascinant de voir à quel point ces petits êtres de papier, de chiffon ou de résine peuvent incarner l’humanité toute entière.
Tirés par des fils, manipulés par des silhouettes silencieuses, portés par des corps à vue ou invisibles, ils nous ressemblent tellement qu’ils nous aident à penser à nos propres fils, nos ombres, nos empêchements. Ils traversent nos consciences et plongent profondément dans nos inconscients et nos imaginaires. Quel est ce phénomène qui, à leur contact, ravive les plaisirs que nous avions à faire souffrir nos poupées et nos petits soldats ou au contraire à les magnifier ? Etrange pouvoir de la marionnette qui veut qu’on lâche prise comme au temps de nos jeux d’enfant… Laissez-vous faire, c’est magique !