Sur le vif
Spectacle
Plangere
Mise en scène: Diana Siru
Théâtre, masques, marionnettes et ombres portées
Sous la lumière terne des bougies, cinq personnages féminins, un cercueil, plusieurs façons de pleurer un mort, différentes manières de faire face à ce manque.
Nous assistons à des scènes où ces femmes de générations différentes posent des questions.
Cette sorte de journal intime dévoile leurs cicatrices, faites de silence et de soumission, qui trouvent dans l’histoire (et les histoires) de leur auteur une façon de se démêler et de faire entendre leurs voix singulières. Ces personnages issus des pièces lorquiennes viennent apostropher l’auteur, ce cercueil sans doute vide, enquête de réponses sur leur existence,
réponses qu’en apparence seul l’auteur détiendrait.
La pièce parle de personnages féminins qui émergent de la force des textes de Lorca . Ces femmes cherchent des réponses, posent des questions, revivent leurs vies par le récit de leurs malheurs. Le cercueil devient alors objet théâtral pour encadrer ces fragments de vie. Le
cercueil se déplie en se transformant en un châssis de théâtre, décor ancien, toile de fond modulable qui accompagne chaque récit. Les robes deviennent des robes castelets et de leurs valises surgissent des objets qui font revivre leur passé. L’action se déroule pendant une veillée
funèbre et c’est justement la nuit qui donne l’opportunité à ses femmes de puiser dans le réservoir de mémoire et de gestes que l’art de García Lorca nous fournit.
Distribution
Jeu : Maritoñi Reyes et Diana Sirumal
Dramaturgie : Ana Lanfranconi
Marionnettes, masques et retablillo : Martha Romero
Scénographie : Marta Pasquetti
Costumes : Sonia Alcaraz
Bande son : Ben Reyes
Arrangement vocaux : Isaac Armas
Création Lumières : Mathias Bauret
Assistante à la mise en scène : Christelle Korichi
Adaptation, conception et mise en scène : Diana Siru
Déjà passé
Mise en scène: Diana Siru
Théâtre, masques, marionnettes et ombres portées
Sous la lumière terne des bougies, cinq personnages féminins, un cercueil, plusieurs façons de pleurer un mort, différentes manières de faire face à ce manque.
Nous assistons à des scènes où ces femmes de générations différentes posent des questions.
Cette sorte de journal intime dévoile leurs cicatrices, faites de silence et de soumission, qui trouvent dans l’histoire (et les histoires) de leur auteur une façon de se démêler et de faire entendre leurs voix singulières. Ces personnages issus des pièces lorquiennes viennent apostropher l’auteur, ce cercueil sans doute vide, enquête de réponses sur leur existence,
réponses qu’en apparence seul l’auteur détiendrait.
La pièce parle de personnages féminins qui émergent de la force des textes de Lorca . Ces femmes cherchent des réponses, posent des questions, revivent leurs vies par le récit de leurs malheurs. Le cercueil devient alors objet théâtral pour encadrer ces fragments de vie. Le
cercueil se déplie en se transformant en un châssis de théâtre, décor ancien, toile de fond modulable qui accompagne chaque récit. Les robes deviennent des robes castelets et de leurs valises surgissent des objets qui font revivre leur passé. L’action se déroule pendant une veillée
funèbre et c’est justement la nuit qui donne l’opportunité à ses femmes de puiser dans le réservoir de mémoire et de gestes que l’art de García Lorca nous fournit.
Distribution
Jeu : Maritoñi Reyes et Diana Sirumal
Dramaturgie : Ana Lanfranconi
Marionnettes, masques et retablillo : Martha Romero
Scénographie : Marta Pasquetti
Costumes : Sonia Alcaraz
Bande son : Ben Reyes
Arrangement vocaux : Isaac Armas
Création Lumières : Mathias Bauret
Assistante à la mise en scène : Christelle Korichi
Adaptation, conception et mise en scène : Diana Siru