Sur le vif
Spectacle
Je ne sais pas pourquoi mais parfois tu m'énerves!(looking for Pinocchio)
Auteur: Collodi/Carmelo Bene(dramaturgie)
Mise en scène: Joëlle Noguès
Technique: Marionnettes habitées
La compagnie Pupella-Noguès est férue d’un théâtre de marionnette
nourri de littérature, de vidéo et d’expérimentations sonores. Elle revient ici aux sources d’une tradition vieille comme
Geppetto, et jette dans son arène de bois un Pinocchio de chair pour en faire – loin des fantaisies aseptisées de Disney,
mais proche de la férocité d’un Carmelo Bene – une figure du contre-pouvoir, et le symbole d’une liberté qui reste sans cesse
à conquérir
Stéphane Boitel
Intention
« Pinocchio, comme l’écrivait Italo Calvino en 1981, existe depuis toujours : on n’arrive pas à imaginer un monde sans Pinocchio. Mais l’image que nous avons aujourd’hui du célèbre pantin est caricaturale, oscillant entre le garnement paresseux et le naïf.
Ici, le but n’est pas l’« éducation » ou l’« intégration », mais bel et bien le refus des mécanismes du pouvoir et la recherche de la liberté, une prise de distance avec la « fable » et avec la morale imposée. Il n’y a pas de rédemption finale pour le pantin, pas de compromis : en congédiant les masques à la fin, le pantin démasque la fiction du chantage, se refusant au renoncement de son innocence. »
Distribution
mise en scène, scénographie
Joëlle Noguès/ traduction et dramaturgie (d’après Carmelo Bene) Giorgio
Pupella / avec Sophie Delarue, Françoise
Ostermann, Jean-Marc Thuillier/
objets/marionnettes Delphine Bailleul,
Joëlle Noguès, Basile Robert, Renata
Antonante (stagiaire)/ création lumières Myriam Bertol/régie plateau Loïc Wauquier-Dusart/construction décors Ateliers du Théâtre National de Toulouse
Déjà passé
Auteur: Collodi/Carmelo Bene(dramaturgie)
Mise en scène: Joëlle Noguès
Technique: Marionnettes habitées
Intention
« Pinocchio, comme l’écrivait Italo Calvino en 1981, existe depuis toujours : on n’arrive pas à imaginer un monde sans Pinocchio. Mais l’image que nous avons aujourd’hui du célèbre pantin est caricaturale, oscillant entre le garnement paresseux et le naïf.
Ici, le but n’est pas l’« éducation » ou l’« intégration », mais bel et bien le refus des mécanismes du pouvoir et la recherche de la liberté, une prise de distance avec la « fable » et avec la morale imposée. Il n’y a pas de rédemption finale pour le pantin, pas de compromis : en congédiant les masques à la fin, le pantin démasque la fiction du chantage, se refusant au renoncement de son innocence. »
Distribution
mise en scène, scénographie
Joëlle Noguès/ traduction et dramaturgie (d’après Carmelo Bene) Giorgio
Pupella / avec Sophie Delarue, Françoise
Ostermann, Jean-Marc Thuillier/
objets/marionnettes Delphine Bailleul,
Joëlle Noguès, Basile Robert, Renata
Antonante (stagiaire)/ création lumières Myriam Bertol/régie plateau Loïc Wauquier-Dusart/construction décors Ateliers du Théâtre National de Toulouse