Sur le vif
Spectacle
Suspens et Fracas
Mise en scène: Mathilde Rance
Suspens-Fracas c’est un jeu, les casseroles sont les adversaires.
Le joueur a plusieurs attributs de pouvoir : la couronne, les dents, les armes…
Le joueur peut être président, général, CRS…
Les attributs du joueur fusionnent à son corps pour constituer sa combinaison de Super-Cyborg-Super-Tueur. C’est le fantasme technologique du guerrier de demain, prêt à tout, pour les guerres et les guerres à venir.
Les casseroles peuvent résister. Cascades de casserolades. Elles sont la mémoire des guerres passées, révélées au joueur pour qu’il ne puisse plus tuer de sang-froid.
Intention
Entre pacifisme éco-féministe qui cherche ses armes et fantasme de toute-puissance des technologies militaires du futur, Suspens-Fracas met en tension les tendances de notre époque : élévation et effondrement, construction et chaos.
Se jouant du manichéisme des blockbusters et jeux vidéo de guerre, Mathilde Rance investit la question de responsabilité individuelle et collective face aux enjeux géoclimatiques à venir.
Cette satire politique, entre naïveté et gravité est conçue comme une fable chorégraphique et musicale, un jeu de rôles qui construit et déconstruit différents personnages, comme autant d’acteurs confus de notre époque.
Le dispositif scénographique constitué de 100 casseroles démultiplie les alternatives, 100 casseroles, 100 visages, 100 voix, 100 positionnements possibles.
Distribution
Conception et interprétation : Mathilde Rance
Manipulation machinerie : Simon Nyiringabo
Conception sonore et spatialisation : Florent Colautti
Scénographie : Mathilde Salaun
Dramaturgie : Marie Orts
Création Costume : Melisa Leoni
Création lumière : Maureen Sizun Vam Dorp
Déjà passé
Mise en scène: Mathilde Rance
Suspens-Fracas c’est un jeu, les casseroles sont les adversaires.
Le joueur a plusieurs attributs de pouvoir : la couronne, les dents, les armes…
Le joueur peut être président, général, CRS…
Les attributs du joueur fusionnent à son corps pour constituer sa combinaison de Super-Cyborg-Super-Tueur. C’est le fantasme technologique du guerrier de demain, prêt à tout, pour les guerres et les guerres à venir.
Les casseroles peuvent résister. Cascades de casserolades. Elles sont la mémoire des guerres passées, révélées au joueur pour qu’il ne puisse plus tuer de sang-froid.
Intention
Entre pacifisme éco-féministe qui cherche ses armes et fantasme de toute-puissance des technologies militaires du futur, Suspens-Fracas met en tension les tendances de notre époque : élévation et effondrement, construction et chaos.
Se jouant du manichéisme des blockbusters et jeux vidéo de guerre, Mathilde Rance investit la question de responsabilité individuelle et collective face aux enjeux géoclimatiques à venir.
Cette satire politique, entre naïveté et gravité est conçue comme une fable chorégraphique et musicale, un jeu de rôles qui construit et déconstruit différents personnages, comme autant d’acteurs confus de notre époque.
Le dispositif scénographique constitué de 100 casseroles démultiplie les alternatives, 100 casseroles, 100 visages, 100 voix, 100 positionnements possibles.
Distribution
Conception et interprétation : Mathilde Rance
Manipulation machinerie : Simon Nyiringabo
Conception sonore et spatialisation : Florent Colautti
Scénographie : Mathilde Salaun
Dramaturgie : Marie Orts
Création Costume : Melisa Leoni
Création lumière : Maureen Sizun Vam Dorp
