Sur le vif

Un homme dans un monde de papier et de peinture rencontre une jolie petite oiselle… C’est le coup de foudre. Ils vont désormais peindre des paysages à deux. Mais un jour l’oiseaune se réveille pas. L’homme, dans son chagrin, doit continuer de vivre sa vie, sa peinture devient alors tourmentée et le reflet de sa tristesse jusqu’au jour où…

Intention

La mort est omniprésente dans nos vies. Tous les enfants sont amenés à la croiser, que ce soit la mort d’un poisson rouge jusqu’à celle d’un de leurs proches. Ce sujet étant infiniment complexe, il devient souvent abstrait et mystérieux aux yeux des enfants. Ce spectacle ne se concentre pas sur la mort en soit, il n’apporte ni de réponses sur le “pourquoi la mort” ni sur ce que deviennent les défunts. L’ensemble du spectacle se veut léger et drôle, le personnage est clownesque et nous découvrons son histoire d’amour. Lorsque l’oiseau meurt, le personnage va être traversé par les sentiments “normaux” face à un décès, des sentiments forts que tout un chacun peut être amené à rencontrer. Une douleur brute chez un personnage qui, petit à petit, dans l’acceptation de la perte, va continuer à affronter la vie et retrouver une balance dans l’infinité des sentiments.

Distribution

Mise en scène : Antoine Bouguier
Jeu interprétation : Antoine Bouguier
Musique : Romain Mercier et Gabriel Bouillon
Lumière : Yvain Legrand

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