Sur le vif
Spectacle
La fin du monde c'est (pas) pour demain
Cet enfant est né dans les années 1970, il rencontre un scientifique qui lui raconte le
monde et sa finitude pour 2030[1]…
Sauf… sauf si nous redonnons de l’air, de la place au vivant.
Sauf si nous aimons l’eau et les insectes sur notre pare-brise !
Ce spectacle est un chant d’amour pour notre planète.
Un hymne à la connaissance interprété par un magicien et une chanteuse sous les yeux
de l’enfant que nous sommes tous.
Si toutes ces crises sont interconnectées et qu’elles peuvent, comme un effet de domino déclencher la catastrophe, alors modifier la place de quelques dominos peut changer la trajectoire !
Au cœur du spectacle la place de l’eau, le rôle des glaciers, la fonte des calottes
glaciaires ... sont expliqués par le professeur à l’enfant invité dans sa cuisine, qui
devient un laboratoire magique.
Le professeur explique sans mot, juste pas des tours de magie, avec ses serviettes de
table, son parapluie, son vieil appareil à diapositives, des glaçons sortis de son frigo...
L’eau potable est magique, Irène chante cette magie.
Irène ? La femme de notre scientifique, que l’enfant imagine en sirène puisqu’elle
passe son temps dans son bain, vous suivez ?
Ce spectacle est une alerte, une invitation à croire que même si le monde fonce dans le
mur, ce n’est pas forcément une mauvaise chose car cela signifie aussi que nous devons
arrêter, changer, vivre autrement…
On prend le virage à toute vitesse et on est en train de sortir de la route.
Alors, comment limiter les dégâts ?
Les tenants de la théorie de l’effondrement n’ont qu’un mot à la bouche : augmenter la
capacité de résilience de la société.
Il faut inventer de nouveaux modèles.
Irène, l’enfant et le scientifique partageront cet espoir.
[1] Dès 1972, le rapport Meadows intitulé The Limits To Growth, rédigé par des chercheurs du MIT pour le Club de Rome, alertait déjà sur les dangers d’une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini. Le rapport prévoyait l’effondrement pour 2030.
Intention
« Le long jour décline ;
la lune lente grimpe ;
des fonds marins montent mille voix plaintives.
Venez mes amis, il n’est pas trop tard pour chercher un monde nouveau. »
James Joyce
Comment écrire un spectacle qui racontera le monde tel qui est ?
Comment mettre en scène sa magie sans oublier qu’elle est souvent bien noire.
Est-ce possible d’écrire un spectacle qui ne soit pas affreusement alarmiste alors que la
fin du monde est annoncée dans des rapports bien officiels ?
Les plus pessimistes annoncent la fin de notre monde pour l’année prochaine, les plus
optimistes pour 2030.
Pablo Servigne nous a prévenu dans son livre Comment tout peut s’effondrer, les
indicateurs sont tous au rouge : pollution, épuisement des ressources, extinction des
espèces… La fin du monde sera la convergence de toutes les crises : climatiques,
écologiques, économiques…
Ou pas !
C’est ce PAS qui nous intéresse.
Comment ne pas mettre le monde entre parenthèses.
Comment faire que la vie ne soit PAS mise entre parenthèse !
Par le partage des connaissances.
Alors sur scène nous avons convoqué un enfant, un scientifique et une sirène…
Oui une sirène.
« Ouvrons les laboratoires, ou nous rejoignons ceux, innombrables déjà,
dans lesquels des femmes et des hommes trouvent des réponses,
imaginent et proposent des solutions
qui ne demandent qu’à être expérimentées. »
Ariane Mnouchkine
Distribution
Écriture et mise en scène : Bruno Thircuir
Assistante à la mise en scène : Julie Pierron
Conseiller dramaturgie : Gaspar Leclère
Création magie et interprétation : Florian Gourgeot
Mise en musique et interprétation : Noémie Brigant
Comédien : Alphonse Atacolodjou
Scénographie, décors et accessoires : Claire Jouët-Pastré
Animation : Lola Gaillard
Régie son : Etienne Bacca
Création lumière : Denis Busseneau
Installation vidéo : François Gaillard
Stagiaire scénographie : Pema Filliard
Production : Lorène Bidaud
Téléchargements
Dossier artistique \"LA fin du monde c\'est (pas) pour demain\"
Déjà passé
Lieu
Région
Début
Fin
Infos
Commune du Grand-Bornand
Auvergne-Rhône-Alpes
26/08/2024
29/08/2024
Festival "Au bonheur des Mômes", 2 représentations par jour, horaires à définir
Cet enfant est né dans les années 1970, il rencontre un scientifique qui lui raconte le
monde et sa finitude pour 2030[1]…
Sauf… sauf si nous redonnons de l’air, de la place au vivant.
Sauf si nous aimons l’eau et les insectes sur notre pare-brise !
Ce spectacle est un chant d’amour pour notre planète.
Un hymne à la connaissance interprété par un magicien et une chanteuse sous les yeux
de l’enfant que nous sommes tous.
Si toutes ces crises sont interconnectées et qu’elles peuvent, comme un effet de domino déclencher la catastrophe, alors modifier la place de quelques dominos peut changer la trajectoire !
Au cœur du spectacle la place de l’eau, le rôle des glaciers, la fonte des calottes
glaciaires ... sont expliqués par le professeur à l’enfant invité dans sa cuisine, qui
devient un laboratoire magique.
Le professeur explique sans mot, juste pas des tours de magie, avec ses serviettes de
table, son parapluie, son vieil appareil à diapositives, des glaçons sortis de son frigo...
L’eau potable est magique, Irène chante cette magie.
Irène ? La femme de notre scientifique, que l’enfant imagine en sirène puisqu’elle
passe son temps dans son bain, vous suivez ?
Ce spectacle est une alerte, une invitation à croire que même si le monde fonce dans le
mur, ce n’est pas forcément une mauvaise chose car cela signifie aussi que nous devons
arrêter, changer, vivre autrement…
On prend le virage à toute vitesse et on est en train de sortir de la route.
Alors, comment limiter les dégâts ?
Les tenants de la théorie de l’effondrement n’ont qu’un mot à la bouche : augmenter la
capacité de résilience de la société.
Il faut inventer de nouveaux modèles.
Irène, l’enfant et le scientifique partageront cet espoir.
[1] Dès 1972, le rapport Meadows intitulé The Limits To Growth, rédigé par des chercheurs du MIT pour le Club de Rome, alertait déjà sur les dangers d’une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini. Le rapport prévoyait l’effondrement pour 2030.
Intention
« Le long jour décline ;
la lune lente grimpe ;
des fonds marins montent mille voix plaintives.
Venez mes amis, il n’est pas trop tard pour chercher un monde nouveau. »
James Joyce
Comment écrire un spectacle qui racontera le monde tel qui est ?
Comment mettre en scène sa magie sans oublier qu’elle est souvent bien noire.
Est-ce possible d’écrire un spectacle qui ne soit pas affreusement alarmiste alors que la
fin du monde est annoncée dans des rapports bien officiels ?
Les plus pessimistes annoncent la fin de notre monde pour l’année prochaine, les plus
optimistes pour 2030.
Pablo Servigne nous a prévenu dans son livre Comment tout peut s’effondrer, les
indicateurs sont tous au rouge : pollution, épuisement des ressources, extinction des
espèces… La fin du monde sera la convergence de toutes les crises : climatiques,
écologiques, économiques…
Ou pas !
C’est ce PAS qui nous intéresse.
Comment ne pas mettre le monde entre parenthèses.
Comment faire que la vie ne soit PAS mise entre parenthèse !
Par le partage des connaissances.
Alors sur scène nous avons convoqué un enfant, un scientifique et une sirène…
Oui une sirène.
« Ouvrons les laboratoires, ou nous rejoignons ceux, innombrables déjà,
dans lesquels des femmes et des hommes trouvent des réponses,
imaginent et proposent des solutions
qui ne demandent qu’à être expérimentées. »
Ariane Mnouchkine
Distribution
Écriture et mise en scène : Bruno Thircuir
Assistante à la mise en scène : Julie Pierron
Conseiller dramaturgie : Gaspar Leclère
Création magie et interprétation : Florian Gourgeot
Mise en musique et interprétation : Noémie Brigant
Comédien : Alphonse Atacolodjou
Scénographie, décors et accessoires : Claire Jouët-Pastré
Animation : Lola Gaillard
Régie son : Etienne Bacca
Création lumière : Denis Busseneau
Installation vidéo : François Gaillard
Stagiaire scénographie : Pema Filliard
Production : Lorène Bidaud
Téléchargements
Dossier artistique \"LA fin du monde c\'est (pas) pour demain\"
Lieu | Région | Début | Fin | Infos |
---|---|---|---|---|
Commune du Grand-Bornand | Auvergne-Rhône-Alpes | 26/08/2024 | 29/08/2024 | Festival "Au bonheur des Mômes", 2 représentations par jour, horaires à définir |