Sur le vif
Spectacle
Des Brèches (titre provisoire)
Mise en scène: Michel Ozeray et Sandrine Furrer
Technique: Théâtre d’objets et Art numérique
Texte, mise en scène et jeu : Michel Ozeray et Sandrine Furrer
Faire revenir le fantôme de nos souvenirs. Comme c’est souvent par les mains que les esprits sont convoqués, nous plongerons avec nos mains dans l’image, pour faire remonter à la surface les ectoplasmes de nos mémoires. Qu’est-ce qui est vrai, quelle part est fabriquée ? C’est toute l’ambiguïté avec laquelle les artistes s’amusent dans leur petit théâtre holographique où images animées et manipulations en direct naviguent en eaux profondes. Une création qui prend source dans les récits intimes de nos voisin·es.
Intention
Fantômes (plus ou moins sympathiques) qui parfois remontent à la surface, mes souvenirs apparaissent plus ou moins net au détour d’une pensée, dans le creux d’une situation, soufflés par une odeur, provoqués par un son, révélés par une image.
Puzzle qui s’assemble dans mon esprit pour construire un terrain de jeu nouveau où mon histoire se rejoue.
Que reste t-il de mes souvenirs ?
Quelle vérité de ce qui fût ?
Ici, je peux leur donner une forme, les matérialiser. Mon histoire est elle juste suspendue à quelques croyances : quelques photos, images mouvantes, récits qu’on m’en a fait et que je me rejoue, sur un autre air, au fur et à mesure de ma vie ?
Au delà de nos intimités, j’aime à croire que nos souvenirs sont le socle d’un imaginaire collectif. Ils sont des trames invisibles qui nous relient les uns aux autres : une mémoire universelle qui, quand on la partage, donne de la perspective à nos vies et dé-sature la couleur des maux .
Distribution
Texte, mise en scène et jeu : Michel Ozeray et Sandrine Furrer
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Prochaines dates
Mise en scène: Michel Ozeray et Sandrine Furrer
Technique: Théâtre d’objets et Art numérique
Texte, mise en scène et jeu : Michel Ozeray et Sandrine Furrer
Faire revenir le fantôme de nos souvenirs. Comme c’est souvent par les mains que les esprits sont convoqués, nous plongerons avec nos mains dans l’image, pour faire remonter à la surface les ectoplasmes de nos mémoires. Qu’est-ce qui est vrai, quelle part est fabriquée ? C’est toute l’ambiguïté avec laquelle les artistes s’amusent dans leur petit théâtre holographique où images animées et manipulations en direct naviguent en eaux profondes. Une création qui prend source dans les récits intimes de nos voisin·es.
Intention
Fantômes (plus ou moins sympathiques) qui parfois remontent à la surface, mes souvenirs apparaissent plus ou moins net au détour d’une pensée, dans le creux d’une situation, soufflés par une odeur, provoqués par un son, révélés par une image.
Puzzle qui s’assemble dans mon esprit pour construire un terrain de jeu nouveau où mon histoire se rejoue.
Que reste t-il de mes souvenirs ?
Quelle vérité de ce qui fût ?
Ici, je peux leur donner une forme, les matérialiser. Mon histoire est elle juste suspendue à quelques croyances : quelques photos, images mouvantes, récits qu’on m’en a fait et que je me rejoue, sur un autre air, au fur et à mesure de ma vie ?
Au delà de nos intimités, j’aime à croire que nos souvenirs sont le socle d’un imaginaire collectif. Ils sont des trames invisibles qui nous relient les uns aux autres : une mémoire universelle qui, quand on la partage, donne de la perspective à nos vies et dé-sature la couleur des maux .
Distribution
Texte, mise en scène et jeu : Michel Ozeray et Sandrine Furrer