Sur le vif
Spectacle
BodyBuilding
Technique: manipulation d'objets, de mannequins
Dans l'obscurité, une chrysalide se fend, s'ouvre et laisse apparaître un corps. Petit-à-petit, à gestes lents et raides, il se débarrasse de sa coque rigide. Le corps se déploie, cherche son évolution…
Intention
Body building est une danse de vie, le prodigieux appel à la conscience d’un corps en suspension. La musique comme une voix de l’esprit suit, accompagne, provoque ce corps qui se construit et s’affirme tout au long de la pièce. Du craquement aléatoire des sons à l’organisation rythmique, corps et musique éprouvent tout au long de la représentation les différentes phases d’une évolution tendant à la conscience de l’être. Le corps de la danseuse manipulatrice, expérimente toutes les possibilités offertes par une multiplicité de membres, c’est le rêve d’un corps augmenté. Le trouble de cette existence fantasmée est appuyé par l’utilisation de prothèses, de mannequins et de l’outil vidéo. Dans cette quête, les références à la peinture et à la statuaire naissent d’elles même. Il y a beaucoup de chacun de nous dans ce corps qui cherche une autre identité que celle imposée par les représentations plastiques. Toute la pièce est une vaste quête de conscience, d’équilibre et de musicalité, c’est celle d’un corps en construction, celle d’un édifice fragile et immense à ériger : un Body building !
Distribution
MISE EN SCÈNE: ÉRIC DOMENICONE
CONCEPTION, MANIPULATION, JEU: DELPHINE BARDOT
MUSIQUE ET MATIÈRE SONORE: ANTOINE ARLOT
EMPREINTES CHORÉGRAPHIQUES: MARIE CAMBOIS
CRÉATION LUMIÈRE, RÉGIE: CHRIS CARIDI
COSTUMES: DANIEL TRENTO
CONSTRUCTION DES OBJETS: YSEULT WELSCHINGER
VIDÉO: VINCENT VICARIO
Déjà passé
Technique: manipulation d'objets, de mannequins
Dans l'obscurité, une chrysalide se fend, s'ouvre et laisse apparaître un corps. Petit-à-petit, à gestes lents et raides, il se débarrasse de sa coque rigide. Le corps se déploie, cherche son évolution…
Intention
Body building est une danse de vie, le prodigieux appel à la conscience d’un corps en suspension. La musique comme une voix de l’esprit suit, accompagne, provoque ce corps qui se construit et s’affirme tout au long de la pièce. Du craquement aléatoire des sons à l’organisation rythmique, corps et musique éprouvent tout au long de la représentation les différentes phases d’une évolution tendant à la conscience de l’être. Le corps de la danseuse manipulatrice, expérimente toutes les possibilités offertes par une multiplicité de membres, c’est le rêve d’un corps augmenté. Le trouble de cette existence fantasmée est appuyé par l’utilisation de prothèses, de mannequins et de l’outil vidéo. Dans cette quête, les références à la peinture et à la statuaire naissent d’elles même. Il y a beaucoup de chacun de nous dans ce corps qui cherche une autre identité que celle imposée par les représentations plastiques. Toute la pièce est une vaste quête de conscience, d’équilibre et de musicalité, c’est celle d’un corps en construction, celle d’un édifice fragile et immense à ériger : un Body building !
Distribution
MISE EN SCÈNE: ÉRIC DOMENICONE
CONCEPTION, MANIPULATION, JEU: DELPHINE BARDOT
MUSIQUE ET MATIÈRE SONORE: ANTOINE ARLOT
EMPREINTES CHORÉGRAPHIQUES: MARIE CAMBOIS
CRÉATION LUMIÈRE, RÉGIE: CHRIS CARIDI
COSTUMES: DANIEL TRENTO
CONSTRUCTION DES OBJETS: YSEULT WELSCHINGER
VIDÉO: VINCENT VICARIO
