Un essai qui retrace l’histoire de l’éducation populaire et porte un regard critique sur la politique culturelle de l’État.
La culture a-t-elle une visée émancipatrice ? La sport favorise-t-il le lien social ? L’art est-il autonome et détaché de toute contingence sociale, économique et politique ? Les loisirs permettent-ils aux travailleurs d’accéder à la culture dominante par l’éducation, ou sont-ils le lieu de l’élaboration d’une culture populaire singulière ?