Sur le vif
Spectacle
Le commun des mortels
Auteur: Cie Théâtre Variable n°2
Technique: Théâtre
Une réflexion audacieuse sur notre rapport au corps
En co-accueil avec le CDCN La Maison
« Quand Keti m’a demandé de travailler sur la merde, j’avoue que je n’étais pas chaude. » C’est ce que s’est dit la romancière Olivia Rosenthal quand la metteuse en scène Keti Irubetagoyena lui a parlé de sa prochaine création.
En 2019, celle-ci lui propose de travailler à quatre mains autour d’un verbe du quotidien, « manger ». Très vite, la décision est prise de traiter ce thème sous un angle un peu particulier : considérer non pas l’ingestion de nourriture mais son éjection. S’intéresser au négligé et au tabou, à ce qui est méprisé ou jugé ignoble : la défécation, et étudier celle-ci dans son extraordinaire banalité, comme ce qui constitue chacun.e en tant que corps vivant.
À mi-chemin entre le séminaire de littérature, la master-class « bien-être » et le duo de clowns, Le commun des mortels interroge le rapport complexe que notre société entretient à son corps – corps individuel bien sûr ; corps collectif surtout.
Distribution
Texte : Olivia Rosenthal
Mise en scène : Keti Irubetagoyena
Avec : Keti Irubetagoyena, Olivia Rosenthal
Graphisme : Philippe Bretelle
Dramaturgie documentaire : Rémi Ciret
Collaboration artistique : Nicolas Fleury, Fatima Soualhia Manet
Déjà passé
Auteur: Cie Théâtre Variable n°2
Technique: Théâtre
Une réflexion audacieuse sur notre rapport au corps
En co-accueil avec le CDCN La Maison
« Quand Keti m’a demandé de travailler sur la merde, j’avoue que je n’étais pas chaude. » C’est ce que s’est dit la romancière Olivia Rosenthal quand la metteuse en scène Keti Irubetagoyena lui a parlé de sa prochaine création.
En 2019, celle-ci lui propose de travailler à quatre mains autour d’un verbe du quotidien, « manger ». Très vite, la décision est prise de traiter ce thème sous un angle un peu particulier : considérer non pas l’ingestion de nourriture mais son éjection. S’intéresser au négligé et au tabou, à ce qui est méprisé ou jugé ignoble : la défécation, et étudier celle-ci dans son extraordinaire banalité, comme ce qui constitue chacun.e en tant que corps vivant.
À mi-chemin entre le séminaire de littérature, la master-class « bien-être » et le duo de clowns, Le commun des mortels interroge le rapport complexe que notre société entretient à son corps – corps individuel bien sûr ; corps collectif surtout.
Distribution
Texte : Olivia Rosenthal
Mise en scène : Keti Irubetagoyena
Avec : Keti Irubetagoyena, Olivia Rosenthal
Graphisme : Philippe Bretelle
Dramaturgie documentaire : Rémi Ciret
Collaboration artistique : Nicolas Fleury, Fatima Soualhia Manet